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Salted caramel pretzel cupcakes | Cupcakes au caramel et au Bretzel







Qui l'eut cru ? Des bretzel et du caramel ? Association saugrenue me direz-vous et pourtant ça fonctionne, très bien même. 
Cet hiver n'en finit plus et la lumière vient à manquer.. On continue alors les recettes réconforts et on prend tout ce qu'il y a de plus gourmand pour se consoler.







INGRÉDIENTS POUR 18 CUPCAKES :

Pour les cupcakes :

20 cl d'eau chaude
85 g de cacao en poudre non sucré
115 g de beurre doux
250 g de sucre en poudre
6 cl d'huile de tournesol
2 oeufs + 1 jaune
165 g de farine
1/2 cuill. à café de sel fin
1/2 cuill. à café de bicarbonate alimentaire

Pour le glaçage :

115 g de beurre doux
200 g de fromage frais
5 cl de caramel beurre salé liquide
250 g de sucre glace

Quelques Bretzel pour décorer

PRÉPARATION :

1. Préchauffer le four à 180°C. Garnir des moules à muffins ou cupcakes de caissettes en papier.

2. Mélanger ensemble l'eau chaude et le cacao. Réserver.
Battre le beurre pommade avec le sucre pendant 2 minutes, ajouter l'huile de tournesol puis les oeufs.

3. Incorporer le cacao. Tamiser la farine avec le bicarbonate et le sel puis l'ajouter progressivement au mélange précédent.

4. Répartir ce mélange dans les caissettes en papier puis faire cuire pendant 10/12 minutes. Laisser refroidir à la sortie du four.

5. Préparer le glaçage : battre le beurre pommade avec le fromage frais, ajouter le caramel puis le sucre glace. Garnir une poche à douille de ce mélange puis décorer les cupcakes avec. Terminer par déposer un Bretzel sur chaque cupcake.





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Peanut butter cookies | Cookies au beurre de cacahuète






Se lever tard, si tard, qu'on saute le déjeuner et on se précipite sur le goûter ! J'avais envie d'une recette simple et réconfortante, quoi de mieux que des cookies au beurre de cacahuète trempés dans un café bien chaud ? Il y en avait une bonne quarantaine, j'ai arrêté de compter quand j'ai commencé à croquer dedans, c'est addictif ces petites choses...

INGRÉDIENTS POUR UNE QUARANTAINE DE COOKIES :

375 g de farine
1 cuill. à café de levure 
1 cuill. à café de sel
225 g de beurre
200 g de beurre de cacahuète
170 g de sucre en poudre
170 g de sucre muscovado
1 cuill. à café d'extrait de café
2 oeufs

PRÉPARATION :

1. Préchauffer le four à 180°C. Tapisser deux plaque de papier sulfurisé. Réserver.

2. Tamiser ensemble la farine, la levure, le sel. Battre le beurre pommade et incorporer le beurre de cacahuète, bien lisser la préparation. Ajouter les sucres, lisser. Incorporer l'extrait de café liquide puis les oeufs un à un. Ajouter alors le mélange de farine.

3. Former des petites boules de 2 à 3 cm de diamètre. Les disposer sur la plaque de cuisson en les espaçant de 5 cm. Les écraser à l'aide du dos d'une petite cuillère puis avec une fourchette, dessiner des croisillons. Enfourner pendant 10 à 12 minutes. A la sortie du four, laisser refroidir pendant 15 minutes puis disposer sur une grille les cookies jusque complet refroidissement.





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Black fruits naked cake | Naked cake au chocolat, myrtilles et mûres





Il y a encore quelques semaines, j'aurais certainement usé mes sneakers sur le bitume, j'aurais emprunté de longs couloirs de métro, où la cohue bat son plein, où les gens sont pressés. J'aurais certainement noté leur regard sombre, leur pas décidé, alors que parfois, eux-même, errent sans but. La météo m'aurait semblé moins triste, moins dure à supporter, car, comme je me plais à le penser, Paris offre de ne jamais s'ennuyer. Quand bien même il y pleuve, vente ou neige, jamais on ne vit cela comme une contrainte. Car toujours  ou presque nous sommes en intérieur : au bureau, dans les transports, au bistrot du coin, dans un magasin ou confortablement lové chez soi. 
Je me serais certainement installée sur une de ces banquettes décrépies, rouge clinquant et à l'assise matelassée, du café située en contrebas de la maison. Mon allongé aurait été servi, avec son verre d'eau, ce verre de cantine dans lequel on continue de regarder l'âge qu'on a alors même qu'on a passé l'âge de faire ça. Par la fenêtre j'observerais les passants, des silhouettes évanescentes qui danseraient d'un bout à l'autre de la rue. En face, il y aurait cet habitué qui toujours alpague le primeur, lui tient la conversation : "Pas facile ce temps, on s'gèle, mais 's annoncent meilleur pour la fin de la semaine, il est temps, c'est qu'on est au Printemps bientôt !" et le commerçant d’acquiescer. C'est qu'on lui a dit plusieurs fois la même chose aujourd'hui alors par mimétisme ou par habitude, il sourit. Sourire c'est poli, c'est agréable quand on a rien de particulier à répondre. Et puis le primeur, il porte bien son sourire, son sourire c'est le soleil qui manque au ciel.
Tiens ! Voilà la concierge, sa chasuble n'a pas changée, fleurie à souhait, ses chaussures en caoutchouc et son air aimable. Voilà une question qui longtemps m'a taraudée : pourquoi les concierges sont-ils souvent renfrognés ? C'est comme s'ils sortaient de leurs draps le matin et qu'ils oubliaient de s'étirer, de déplier leur corps engourdi, histoire de ne pas avoir l'air trop chiffonné... Je connais un bon nombre de professeurs de yoga qui auraient grand plaisir à partager une ou deux salutations au soleil avec eux. D'ailleurs, peut-être est-ce la raison pour laquelle ces professeurs n'ont pas le teint gris : ils soufflent tous les matins sur les nuages pour dire bonjour au zénith ?!
Et voilà, comme habituellement, mon café aurait refroidi, davantage assoiffée par ma curiosité. Le sac à main en bandoulière, je serais repartie en cavale dans les artères de Paris, dans son ventre.
Aujourd'hui je suis ici, en bord de mer et rase campagne, et parfois je pense à elle, je me projette. Ce sont toutes ces scènes de vie qui m'ont fait aimer cette fourmilière. Elle me manque et je lui écris dans mes souvenirs. La prochaine fois que nous nous verrons, je lui dirais combien, comme un vieil amour, je l'ai attendue sur le quai, je lui raconterai les gares où j'ai lu son nom, je lui conterai l'espace, le grand air, la douceur, quand elle me rappellera l'agitation, l'affairement et les nouvelles banquettes à user autour d'un café.




INGRÉDIENTS POUR UN GÂTEAU DE 12 PARTS :

Pour les génoises :

270 g de farine
450 g de sucre en poudre
60 g de cacao en poudre non sucré
2 cuill. à café de bicarbonate alimentaire
1 sachet de levure chimique
2 cuill. à café de fécule de maïs
1 cuill. à café de sel fin
3 oeufs
30 cl de lait fermenté
18 cl de café chaud
12 cl d'huile de raisin
1 1/2 cuill. d'extrait de vanille liquide

Pour la ganache :

200 g de chocolat noir
12 cl de crème entière liquide
2 cuill. à soupe de confiture de myrtilles
20 g de beurre doux

Pour le glaçage :

250 g de beurre
250 g de sucre glace


PRÉPARATION : 

1. Préchauffer le four à 180° C. Beurrer et fariner 3 moules à charnière, tapisser le fond de papier sulfurisé. Réserver.

2. Mélanger ensemble les ingrédients secs : farine, sucre, cacao, levure, bicarbonate, sel, fécule de maïs.
Dans un autre récipient, mélanger ensemble les ingrédients liquides : oeufs, lait fermenté, extrait de vanille liquide, café et huile de raisin. Incorporer les éléments liquides aux éléments solide. Répartir ce mélange équitablement dans les trois moules puis faire cuire pendant 25/30 minutes. Laisser refroidir 15 minutes avant de démouler.

3. Dans une casserole, faire bouillir la crème entière liquide. Verser cette dernière sur le chocolat haché, bien mélanger. Ajouter la confiture de myrtilles puis le beurre. Bien lisser au fouet. Laisser refroidir.

4. Pour le glaçage : dans un saladier battre au fouet le beurre en pommade, ajouter progressivement le sucre glace puis la poudre de vanille.

5. Pour le montage : déposer une tranche de génoise sur un plat à service, garnir de ganache au chocolat et de quelques fruits (myrtilles, mûres), recouvrir d'une seconde génoise et renouveler l'opération précédente. Ajouter une dernière génoise puis étaler le glaçage sur les pourtours du gâteau. Décorer de quelques fruits.


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